« J’ai peint ces femmes après un voyage à Istanbul. Ce sont des baigneuses maures. Les premières apparaissent au premier plan de façon figurée, on devine leurs courbes généreuses et leur sensualité, les autres se fondent dans le décor. On les soupçonne à peine. Plus on entre en profondeur et plus les silhouettes s’effacent, énigmatiques. C’est une histoire entre femmes qui garde son secret. »